Home » la France reste «loin» des objects de réduction des antibiotika en elevage, ifølge CIWF France – EURACTIV.fr

la France reste «loin» des objects de réduction des antibiotika en elevage, ifølge CIWF France – EURACTIV.fr

by Liv Ullmann

Alors at Den europeiske union interdit l’bruk av antibiotika i rutine i elevage depuis vendredi (28. januar), NGO pour elevage varig une list d’actions for å garantere bonne application des nouvelles règles i Frankrike.

1,2 millioner : dette er antallet personer registrert for infeksjoner forårsaket av antibiotikaresistente bakterier i verden i 2019, ifølge CIWF France. Antibiotikaresistensen vil bli en «alvorlig verdensproblem av santé publique», NGO bekrefter i en publisert uttalelse solgt (28. januar) – og dens høyde og viktige rolle: den representerer de to lagene av antibiotika som brukes i verden.

Une nouvelle règlementation sur les médicaments vétérinaires de l’UE doit au moins partiellement enrayer ce problème: depuis vendredi (28. januar), celle-ci interdit, entre autres, toute utilization d’antibiotiques en rutine les evages les traitements dans in av gruppeprofylaktiske midler.

Les antibiotika ne pourront, en outre, pluss server pour «kompensere» des conditions d’elevage «upassende» ou une mauvaise hygiène, utgi en rapport fra NGO pour une meilleure santé publisere EPHA (European Public Health Alliance).

La France serait toutefois «lende» de pouvoir samsvarer med cette nouvelle règlementation européenne, selon CIWF Frankrike. L’ONG pour un elevage varig pointe les lacunes de l’elevage industriel, bekrefter at «Spesifikasjonene til de mest konsommatiske antibiotika er stort sett elevées dans de systèmes intensifs».

Systèmes dans lesquels la densité des animaux augmenterait la fréquence des infeksjoner og dans lesquels, følgelig, «Antibiotika er avgjørende for å kompensere for upassende høydeforhold», i henhold til direktivet til foreningen, Léopoldine Charbonneaux.

I Frankrike blir antibiotika fortsatt for det meste administrert i traitement de groupe (76 %), lettet av NGOen, soutenant que le pays «comb à réduire une utilization overcessive and encore trop systematique en elevage».

Réussir la mise en pratique de la nouvelle règlementation européenne nécessiterait «d’viktige endringer av forhold d’elevage», bekrefter foreningen.

Med støtte fra rapporten fra EPHA, den mest pålitelige bruken av antibiotika i Europa – à savoir l’Islande, la Norvège et la Suède – disponerer også standarder for velvære for dyr pluss eleves. Følgelig, 90% av antibiotika og seraient administrert i individuelle traitement aux seules animaux malades.

Dans des pays comme la France et l’Allemagne, proches de la moyenne européenne, les niveaux d’utilisation d’antibiotiques seraient entre cinq et dix fois supérieurs aux plus faibles utilisateurs par unité d’elevage. Ce taux serait même jusqu’à 20 fois supérieur chez les utilisateurs les most importants, comme la Pologne, l’Italie ou l’Espagne, souligne le rapport.

Dans ces mêmes betaler proches ou au-dessus de la moyenne, la «aller fleste» des antibiotika serait administrée sous form de traitements de groupe ayant « Souvent pour objectif de contrôler des maladies persistentes et récurrentes ».

Alors que l’exemple des pays scandinaves démontrerait «Hvilken stor margin for fremgang er fortsatt mulig», CIWF Frankrike foreslår en liste over dix mesures à met in place par les pouvoirs publics pour permettre de réduire le recours aux antibiotika dans les evages français.

L’ONG appelle, d’une part, à « Agir sur l’encadrement des usages d’antibiotiques en elevage»autrement dit, collecter les données sur l’usage d’antibiotiques par système de production et pour chaque espèce, réduire les seuils d’utilisation d’antibiotiques à atteindre, diminish la part autorisée des traitements de groupe et interdire l’usage si «av kritisk betydning» (Comme la colistine, utilisée pour traiter des infections potentialement mortelles chez l’Homme mais contre laquelle la résistance peut se transmettre des animaux d’élevage aux humains).

D’autre del, CIWF Frankrike demande à l’État d’agir sur les facteurs liés aux «pratiques d’elevage à risque» : Interdire le sevrage trop précoce et les souches à croissance rapide en volaille, réduire les densités minimums obligatoires, développer l’elevage en plein air, rendre obligatoire une alimentary riche en fibers (benéfique pour la santé le digestive et donmecanimit) et interdire la coupe des queues des cochons pour éviter des infeksjoner (illégale dans l’UE mais encore la règle dans la «det store flertallet av europeiske land» og kjøp la France, selon l’ONG).

Somme tout, c’est en augmentant le bien-être animal et en basculant vers des modes d’elevage mer holdbart at Frankrike arrivedra à respecter les nouvelles règles européennes, anser l’ONG, et alinsi à lutter contra la «crise d’antibiorésistance som satte i fare la santé humaine».

Le bien-être animal au sein de l’UE

Où ser positionnent l’UE et ses États membres en matière de bien-être animal et que fait-on sur le plan politique? Dans ce graphique informatif, EURACTIV undersøker visse eléments et chiffres clés.

You may also like