Home » streaming. «The Gilded Age» eller «La Corde»? Ne vous trompez pluss nåde til vårt utvalg

streaming. «The Gilded Age» eller «La Corde»? Ne vous trompez pluss nåde til vårt utvalg

by Ashley Olsen

Serien: «The Gilded Age» på OCS

Des familles bourgeoises en tenues de prestige, des domestiques échangeant ragots et chicaneries, des résidences somptueuses… Hvis du forteller meg «Downtown Abbey», er du forbi tre loin puisque sønn kreatør, Julian Fellowes, er også opphavet til «The Gilded» Alder » (c’est-à-dire »l’âge doré» américain en français).

Mais cette fois-ci, på quitte l’Angleterre du début du XXe siècle pour le New York de la fin du XIXe siècle. Hovedhelten er unge Marian Brook (Louisa Jacobson, l’une des girls de Meryl Streep), som forlot henne Pennsylvanie natale après la mort de son père pour aller vivre avec ses tantes Agnes (Christine Baranski) et Ada (Cynthia Nixon). ). Sur le chemin, elle rencontre Peggy Scott (Denée Benton), jeune noire et écrivaine en herbe, som vil bli venner. Mais Marian går tilbake til sitt vakre miljø d’un conflit entre ses tantes et ses voisins, les Russel. George (Morgan Spector) er en rik og rik formue dans les nouveaux chemins de fer, tandis que sa femme Bertha (Carrie Coon) ambisjon om å bli en ustoppelig nom de la Cinquième Avenue.

Passer fra «Downtown Abbey» til «The Gilded Age», c’est comme si on retrouvait ses petits souliers avec de nouvelles semelles, mais le même confort. Il ne se passe pas grand-chose, mais le tout est raconté, et interpreté, avec talent. I kategorien skuespillerinner med lang karriere som lanserer piquer med klasse og talent, lyktes Christine Baranski og Cynthia Nixon med brio til Maggie Smith. Louisa Jacobson joue la jeune ingénue avec plaisir.

«The Gilded Age» er avgrenset tout de même de son illustre prédécesseur par des thèmes à la fois pertinents et toujours d’actualité, comme l’indépendance des femmes, la place des personnes noires dans une société blanche, eller l’acceptation «homoseksualitet, sans tomber dans le misérabilisme. For fans av «Downtown Abbey», men også «La Chronique des Bridgerton» eller «Gossip Girl», vil «The Gilded Age» være en fornøyelse å se.

L’autre série: «La Femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre» på Netflix

Hell Anna (Kristen Bell), hvis hjerte brisé, les jours se suivent et ressemblent. Elle s’assoit avec un verre de vin, regarde par la fenêtre et voit la vie se dérouler sans elle. Mais quand un charmant voisin s’installe de l’autre côté de la rue avec sa fille, startet Anna voir le bout du tunnel. Jusqu’au jour où elle est témoin d’un meurtre horrible… ou pas?

Avec son titre alambiqué, «La Femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre» joue la carte du pastiche des thrillers, qu’ils soient d’Alfred Hitchock en personne – «Fenêtre sur Cour» – ou dans sa lignée – « La Femme à la fenêtre »med Amy Adams for eksempel. Mer er en pastisj bra? Vire-t-on ver la parodie? À moins que ce soit bien plus sérieux? Il faut le talent de Kristen Bell («The Good Place») pour tromper son monde, dans un suspense aussi refill que les verres de vin rouge de l’héroïne.

Miniserien: «La Corde», tilgjengelig gratis på arte.tv

Helligskogen, au nord de la Norvège, dans un observatoire astronomique perdu en pleine nature. Bernhardt Mueller (Richard Sammel) og hans kone Agnès (Suzanne Clément), anerkjente forskere, håper å få autorisasjon fra mettre en œuvre le protocole d’observación sur lequel ils travaillent depuis quinze ans. Flere ganger enn de kommer for å få det grønne, er forbedringene plaget av en merkelig oppdagelse: et hjerte er apparue til malmen i skogen, det er enfonsant sans limite à travers les arbres. Curieux d’elucider ce mystère, Bernhardt bestemmer over livet sitt, akkompagnert av flere kolleger (Jean-Marc Barr, Jeanne Balibar, Christa Théret…)

Miniserie på tre 50-minutters episoder, med inntrykk av at «La Corde» ikke klarte å doble. Si le postulat n’est pas inintéressant, le mystère laisse place aux absurde errances de ses personnages – pourtant scientifiques – sans chercher à donner un sens à leurs déambulations. Malgré le talent devant la caméra avec ce casting international et derrière la caméra (Dominique Rocher, réalisateur de «La Nuit a dévoré le monde» i 2018), tout ceci devient vite abscons. Ne rien expliquer et laisser les téléspectateurs et téléspectatrices dans l’expectative, c’est un choix qui peut payer. Là, c’est surtout nous qui payons l’addition…

You may also like